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Der Kleine Pedant© trägt als bibliographische Fußnote nach:

Auch in R. Duval Hansons "Aldous Huxley: A Bibliography" (Folcroft Library Editions, 1972), der bei den Beiträgen zum "Athenaeum" nicht nur die "Autolycus"-Kolumnen auflistet und die mit "A.L.H." signierten Buchbesprechungen, sondern auch die völlig ungezeichneten Texte, findet sich kein Separateintrag für "Re-Reading Candide."

"Der einzige Unterschied, daß die Greuel ungleich massierter daherkommen als in der Welt Candides."

Ich bin mir unklar, Schreibfehler oder Metapher?

Diese Art von Geschichte ist nun wirklich etwas einmaliges, eine "narrative Reflexion" über ein Buch.
Ich bin ein wenig beeindruckt, jedoch kenne ich Voltairs Werk gar nicht.

Was das Gemälde angeht:
"Nur die Frauen der Familie schauen betrübt und zusammengesunken in die spätherbstliche Parklandschaft vor den Fenstern hinaus."
Beide Frauen schauen eben nicht hinaus und das dritte Kind scheint ebenfalls sehr betrübt.

Im Original: "The only difference is that the horrors crowd rather more thickly on the world of 1922 than they did on Candide's world." (On the Margin, S. 14) - Was, wenn man das Büchlein kennt, ein ziemlicher Sarkasmus ist, denn im "Candide" kommt das in der ersten Hälfte ziemlich geballt daher.

Zitat

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Enfin, tandis que les deux rois faisaient chanter des Te Deum, chacun dans son camp, il prit le parti d’aller raisonner ailleurs des effets et des causes. Il passa par-dessus des tas de morts et de mourants, et gagna d’abord un village voisin ; il était en cendres : c’était un village abare que les Bulgares avaient brûlé, selon les lois du droit public. Ici des vieillards criblés de coups regardaient mourir leurs femmes égorgées, qui tenaient leurs enfants à leurs mamelles sanglantes ; là des filles, éventrées après avoir assouvi les besoins naturels de quelques héros, rendaient les derniers soupirs ; d’autres, à demi brûlées, criaient qu’on achevât de leur donner la mort. Des cervelles étaient répandues sur la terre à côté de bras et de jambes coupés.

Candide s’enfuit au plus vite dans un autre village : il appartenait à des Bulgares, et les héros abares l’avaient traité de même. Candide, toujours marchant sur des membres palpitants ou à travers des ruines, arriva enfin hors du théâtre de la guerre, portant quelques petites provisions dans son bissac, et n’oubliant jamais Mlle Cunégonde. Ses provisions lui manquèrent quand il fut en Hollande ; mais ayant entendu dire que tout le monde était riche dans ce pays-là, et qu’on y était chrétien, il ne douta pas qu’on ne le traitât aussi bien qu’il l’avait été dans le château de monsieur le baron, avant qu’il en eût été chassé pour les beaux yeux de Mlle Cunégonde. (Ch. III)

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